Dans la grande région d’Oromia, nos zones de projets sont éloignées les unes des autres. Par conséquent, les conditions climatiques et topographiques de chaque projet ne sont pas les mêmes.
Depuis que nous avons reboisé cette colline de Gango, les récoltes de céréales dans les champs en dessous ont augmenté d’un quart.Ketema Nagash
Le long chemin jusqu’à l’eau
Lever de soleil sur un lac de cratère dans la vallée du Rift
Transport des récoltes du champ à la maison
Des fermes en contrebas de la colline, au-dessus des champs, pour la culture de céréales
Des collines étendues et menacées par l’érosion, avec des villages en contrebas
Ce que l’on retrouve au sein de tous les projets, c’est le manque de forêts ayant une capacité de rétention d’eau suffisante et le fait que, pendant la saison des pluies, bien trop d’humus est emporté par de violents orages ce qui détruit ainsi de précieuses terres cultivées. Ce phénomène devrait être arrêté par la reforestation.
Dans la plupart des régions, nous travaillons en collaboration avec les groupes de paysans, de femmes et de jeunes. Ceux-ci sont réunis dans une région (Weliso), au sein d’une association « Youth Development » et sont mobilisés, formés et encadrés par cette organisation de jeunes. Dans d’autres régions, le bureau agricole local prend en charge l’accompagnement professionnel de ces groupes. Ainsi, notre travail de projet contribue à ce que des milliers de personnes aient un travail censé et à ce que leurs conditions de vie s’améliorent. Le retour d’animaux sauvages, les ruisseaux et les sources de nos forêts tout comme l’amélioration du micro-climat témoignent des bénéfices durables de notre travail.
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Oromia
Dans la grande région d’Oromia, nos zones de projets sont éloignées les unes des autres. Par conséquent, les conditions climatiques et topographiques de chaque projet ne sont pas les mêmes.
Ce que l’on retrouve au sein de tous les projets, c’est le manque de forêts ayant une capacité de rétention d’eau suffisante et le fait que, pendant la saison des pluies, bien trop d’humus est emporté par de violents orages ce qui détruit ainsi de précieuses terres cultivées. Ce phénomène devrait être arrêté par la reforestation.
Dans la plupart des régions, nous travaillons en collaboration avec les groupes de paysans, de femmes et de jeunes. Ceux-ci sont réunis dans une région (Weliso), au sein d’une association « Youth Development » et sont mobilisés, formés et encadrés par cette organisation de jeunes. Dans d’autres régions, le bureau agricole local prend en charge l’accompagnement professionnel de ces groupes. Ainsi, notre travail de projet contribue à ce que des milliers de personnes aient un travail censé et à ce que leurs conditions de vie s’améliorent. Le retour d’animaux sauvages, les ruisseaux et les sources de nos forêts tout comme l’amélioration du micro-climat témoignent des bénéfices durables de notre travail.